NATIONAL
La République dominicaine quitte la CIDH
Le Nouvelliste|Publié le: 04 novembre 2014
La Cour constitutionnelle dominicaine a décidé du
retrait de la république voisine de la Cour interaméricaine des droits de
l’homme. Cette décision arrive deux semaines après la sentence de la CIDH
condamnant la République dominicaine pour violation des droits humains.
Coup
de tonnerre à Santo Domingo. Après l’arrêt 168/13, la Cour constitutionnelle
dominicaine poursuit les verdicts plutôt spectaculaires. Par l’arrêt
TC/0256/14, les juges de la Cour constitutionnelle ont décidé de rendre
inconstitutionnel l’instrument d’acceptation de la compétence de la Cour
interaméricaine des droits de l’homme en République dominicaine. A partir de ce
mardi 4 novembre 2014, la république voisine n’est plus officiellement membre à
part entière de la CIDH qu’elle a intégrée en 1999.
La
décision de la Cour constitutionnelle dominicaine arrive deux semaines après le
verdict de la CIDH condamnant l’Etat dominicain pour la déportation de ess
citoyens, la violation du droit à la nationalité. Le gouvernement dominicain a
jusque-là refusé de se plier à la demande de la CIDH de revenir sur l’arrêt
168/13 rendant apatrides 200 000 Dominicains d’origine étrangère.
«
Prendre une décision aussi grave à la suite de ce verdict de la CIDH place la
République Dominicaine dans une situation très complexe en matière de respect
des droits humains », a réagi Edwin Paraison, ancien consul d’Haiti en
République dominicaine. Selon monsieur Paraison, la République dominicaine
aurait pu éviter cette nouvelle condamnation par le respect strict de la
sentence de la CIDH de septembre 2005 en
rapport au dossier Jean-Boussicot, ainsi que d’autres recommandations émanant
de la Commission interaméricaine des droits de l’homme.
La
décision de l’Etat dominicain devrait être analysée par la partie haïtienne
afin de déterminer la gestion à faire sur le plan bilatéral, selon l’ancien
ministre des haïtiens vivant à l’étranger. Le gouvernement Haïtien n’a pas
encore pris position sur la décision de la République dominicaine de se retirer
de cet organisme travaillant sous la direction de l’Organisation des Etats
américains.
NACIONAL
La
República Dominicana sale de la CIDH
El Nouvelliste | Publicado: 04 de
noviembre 2014
El Tribunal Constitucional de la República Dominicana
decidió retirar el país vecino de la Corte Interamericana de Derechos Humanos.
Esta decisión se produce dos semanas después de la decisión de la CIDH condenó
la República Dominicana por la violación de los derechos humanos.
Vuelve a tronar en Santo Domingo después de la
sentencia 168/13, el Tribunal Constitucional dominicano tiene los veredictos
más espectaculares. Al emitir la sentencia TC / 0256/14, los jueces del
Tribunal Constitucional decidieron declarar inconstitucional el instrumento de
aceptación que le da jurisdicción a la Corte Interamericana de Derechos Humanos
en la República Dominicana. A partir de este Martes, 04 de noviembre 2014, la
república vecina ya no es oficialmente un miembro pleno de la CIDH se unió en
1999.
La decisión de la Corte Constitucional
Dominicana se produce dos semanas después de que el veredicto de la CIDH
condenando al gobierno dominicano para la deportación de ciudadanos haitianos
en violación del derecho a la nacionalidad. Hasta ahora, el gobierno dominicano
se ha negado a cumplir con la solicitud de la CIDH para volver a la sentencia
168/13 haciéndolos apátridas a 200.000
dominicanos de origen extranjero.
"Tomando una grave después de la sentencia
de la decisión de la CIDH coloca la República Dominicana en una situación muy
compleja en materia de derechos humanos", respondió Edwin Parison, ex
cónsul haitiano en la República Dominicana. Según el Sr. Parison, la República
Dominicana podría haber evitado esta nueva sentencia por el estricto
cumplimiento de la decisión de la CIDH en septiembre de 2005 en relación con
carpeta Jean-Boussicot, así como otras recomendaciones de la Comisión
Interamericana de Derechos Humanos.
La decisión del Estado dominicano debe ser analizado
por la parte haitiana para determinar la gestión de forma bilateral, según el
ex ministro de los haitianos que viven en el extranjero. El gobierno de Haití
aún no ha adoptado una posición sobre la decisión de la República Dominicana a
retirarse de esta organización que trabaja bajo la dirección de la Organización
de los Estados Americanos.
Rapatriement d'illégaux
haitiens aux Bahamas: le gouvernement haïtien préoccupé
Le Nouvellist-Publi le :07
novembre 2014
Suite à la décision du
gouvernement des Bahamas de rapatrier des illégaux haïtiens vivant sur son
territoire, lle gouvernement haïtien a rappelé son ambassadeur pour
consultation. Haïti à tarvers son ministère des Affaires étrangères applele au
respect des droits des Haïtiens aux Bahamas
Depuis le 1er novembre dernier,
les autorités bahamiennes ont décidé de rapatrier toutes personnes vivant sur
leur territoire illégalement. Ces nouvelles mesures migratoires touchent des
centaines d’enfants et de parents haïtiens qui ont été placés depuis samedi
dernier en détention, avant leur déportation en Haïti.
Une situation qui interpelle les
autorités haïtiennes qui avaient décidé de rappeler en consultation, jeudi,
leur ambassadeur dans l’ancienne colonie britannique. Le ministre des Affaires
étrangères et des Cultes, Duly Brutus,
lors d'une conférence de presse vendredi à la Primature a déclaré que
ces nouvelles mesures inquiètent beaucoup le gouvernement haïtien. « Le
traitement infligé aux enfants haïtiens aux Bahamas nous préoccupe beaucoup,
a-t-il dit. Dans le cadre de très bonnes relations qui ont toujours existé
entre les deux pays, nous réclamons un meilleur traitement de nos compatriotes,
surtout des enfants nés dans cet archipel.»
Le chancelier haïtien a convoqué l’ambassadeur des Bahamas
en Haïti, en vue de lui exposer la position de l’administration
Martelly/Lamothe. « Nous lui avons dit
que nous respectons la souveraineté des Bahamas, mais nous leur
demandons d’avoir un meilleur traitement pour les illégaux, surtout pour les
enfants haïtiens.»
Par ailleurs, Duly Brutus a
déclaré que le gouvernement haïtien ne peut en aucun cas s’immiscer dans les
affaires du gouvernement des Bahamas pour le contraindre à changer de position
sur le rapatriement des citoyens vivant illégalement sur son territoire. «
C’est à nous de prendre des mesures nécessaires pour éviter à nos compatriotes
d’aller se faire humilier en terre étrangère », soulignant en outre que le
problème des Haïtiens sans papiers est criant dans plusieurs régions de
l’Amérique. « C’est pour cela que nous nous sommes mis d’accord avec le
président Michel Martelly pour avoir une
approche plus globale de ce problème.»
Jusqu’à aujourd'hui, aucun Haïtien
n’est encore arrivé sur le territoire national, a précisé le ministre Duly
Brutus. Toutefois, d'après lui, plusieurs centaines de nos compatriotes sont
encore en détention, avant leur déportation vers Haïti.
« Nous avons beaucoup à faire pour
développer le pays, a-t-il reconnu. Mais nous devons travailler ensemble dans
l’intérêt de tout un chacun pour éviter à nos compatriotes de continuer à se
faire humilier par d’autres nations.»
Duly Brutus a, dans le cadre de
cette conférence, présenté le bilan de son voyage à la Guadeloupe en octobre
dernier. Au cours de ce voyage, il a discuté avec le président du conseil
régional de ce pays sur les promesses de construction d’un lycée en Haïti. «
Les responsables de la Guadeloupe nous ont promis la construction d’un lycée
après le séisme du 12 janvier 2010 et ils ont déclaré, au cours de cette rencontre,
que les fonds pour sa construction sont déjà disponibles. Nous en avons discuté
avec le ministre de l’Education nationale et de la Formation professionelle et
c’est la ville des Côteaux qui va en bénéficier», a précisé le chancelier
haïtien, Duly Brutus.
Il a en outre évoqué la
possibilité pour la Guadeloupe d’offrir des bourses d’études à des jeunes
Haïtiens. En attendant, un accord est presque trouvé entre la Guadeloupe et
Haïti pour donner une formation à 100 jeunes
sur l’utilisation du numérique. « Cette formation permettra à ces
jeunes, une fois la formation terminée, de rentrer sur le marché du travail. En
février 2015, nous devrions démarrer cette formation.»
La repatriación de los haitianos ilegales en las Bahamas: preocupa al
gobierno haitiano
El Nouvellist Publicado: 07 de noviembre
2014
Tras
la decisión del Gobierno de las Bahamas para repatriar a los haitianos ilegales
en su territorio, el gobierno de Haití llamó a su embajador para consultas.
Haití Tarvers a su Ministerio de Relaciones Exteriores applele los derechos de
los haitianos en las Bahamas
Desde el 1 de noviembre, las autoridades
de Bahamas decidieron repatriar a todas las personas que viven en su territorio
de forma ilegal. Estas nuevas medidas migratorias que afectan a cientos de
niños haitianos y los padres que fueron colocados en detención desde el pasado
sábado, antes de su deportación a Haití.
Una situación que hace un llamamiento a
las autoridades haitianas que decidieron llamar a consulta el jueves a su
embajador en la ex colonia británica. El Ministro de Relaciones Exteriores y
Cultos, Duly Brutus, durante una conferencia de prensa el viernes en el primer
ministro dijo que las nuevas medidas muy preocupado por el gobierno haitiano.
"El tratamiento a los haitianos es la preocupación nosotros con Bahamas,
él ha dicho. Como parte de las buenas relaciones que siempre han existido entre
los dos países, exigimos un mejor tratamiento de nuestros compatriotas,
especialmente de los niños nacidos en este archipiélago ".
Canciller de Haití convocó al embajador
de las Bahamas en Haití, y le expuso la posición de la administración Martelly
/ Lamothe. "Le dijimos que nosotros respetamos la soberanía de las
Bahamas, pero les pedimos a tener un mejor tratamiento para los
ilegales, especialmente para los niños de Haití."
Por otra parte, Duly Brutus dijo que el
gobierno de Haití no puede de ninguna manera inmiscuirse en los asuntos del
gobierno de las Bahamas para obligarlo a cambiar su posición respecto a la
repatriación de los ciudadanos que viven ilegalmente en su territorio.
"Todo depende de nosotros para tomar las medidas necesarias para evitar
que nuestros compatriotas sigan siendo humillado en un país extranjero",
señalando, además, que el problema de los haitianos indocumentados está sucediendo
en muchas partes de América. "Es por eso que de acuerdo con el presidente
Michel Martelly para tener un enfoque más integral a este problema."
Hasta ahora, ningún haitiano ha sido
repatriado todavía a el país, dijo el ministro de Duly Brutus. Sin embargo,
según él, cientos de nuestros compatriotas están todavía en detención antes de
ser deportados a Haití.
"Tenemos mucho que hacer para
desarrollar el país, reconoció. Pero tenemos que trabajar juntos en el interés
de todo el mundo para evitar que nuestros compatriotas sigan siendo humillados
por otras naciones ".
Duly Brutus, en el marco de esta
conferencia, presentó los resultados de su viaje a Guadalupe en octubre.
Durante este viaje, habló con el presidente del consejo regional del país con
la promesa de construir una escuela en Haití. "Los responsables de la
Guadalupe se comprometió en construir una escuela después del terremoto del 12
de enero de 2010 y se declaró durante la reunión que los fondos para su
construcción ya están disponibles. Hemos discutido con el Ministro de Educación
Nacional y Formación Profesional, esta es la ciudad de Coteaux que se
beneficiarán ", dijo el canciller haitiano.
También planteó la posibilidad de que la
Guadalupe para ofrecer becas a jóvenes haitianos. Mientras tanto, casi se llegó
a un acuerdo entre Guadalupe y Haití para proporcionar capacitación a 100
jóvenes en el uso de la tecnología digital. "Esta capacitación ayudará a
estos jóvenes, una vez que la formación ha terminado, volver al mercado de
trabajo. En febrero de 2015, deberíamos comenzar a entrenar ".
Haití convoca a embajador en Bahamas preocupado por trato a inmigrantes ilegales
haitianos
2014-11-08 XINHUA
Haití convocó el viernes a su embajador
en las Bahamas preocupado por el trato que vienen recibiendo inmigrantes
haitianos radicados en ese país, y expresó de manera oficial su inquietud por
una nueva norma migratoria aplicada por las autoridades bahameñas.
El presidente haitiano, Michel
Martelly, encabezó una reunión este viernes para analizar la situación en el
vecino país, según informó el ministro de Relaciones Exteriores de Haití, Duly
Brutus, quien manifestó que también se abordó la situación de la diáspora
haitiana en otros países de la región.
Bahamas lanzó este mes una nueva ley de
migración que establece nuevas condiciones para la permanencia de extranjeros
en el país, como el hecho de que solo los hijos de inmigrantes establecidos
legalmente en ese país podrán obtener permisos de residencia, de escolaridad y
de trabajo.
Además, el Gobierno bahameño ya no
aceptará más solicitudes de visas de trabajo cuyos solicitantes residan de
manera irregular en el país. También exigirá a los residentes de otras naciones
portar en todo momento sus documentos de identidad.
"En el marco de una buena
cooperación entre los dos países, las autoridades bahameñas deben dar un trato
decente a los haitianos", dijo el viernes el canciller de Haití, que el
jueves se reunió en Puerto Príncipe con el embajador de Bahamas en su país para
informarle de la posición del Gobierno haitiano respecto al tema.
Medios haitianos informaron esta semana
de que haitianos indocumentados, incluyendo niños, fueron detenidos en redadas
y llevados a celdas para su posterior deportación, hecho que el canciller
haitiano condenó.
El primer ministro haitiano, Laurent
Lamothe, afirmó el jueves que su Gobierno estaba dispuesto a garantizar los
"derechos de sus compatriotas y de sus descendientes", pero no
mencionó si se refería a las nuevas políticas migratorias aplicadas por el
Gobierno bahameño.
"Como con toda política
migratoria, nuestro Gobierno está alerta y concentrado en salvaguardar el
derecho de haitianos y sus descendientes", afirmó Lamothe en su cuenta de
Twitter, sin hacer otro comentario.
Bahamas, una mancomunidad compuesta por
cerca de 700 islas al norte de Cuba, Haití y República Dominicana, es receptor
habitual de inmigrantes indocumentados haitianos que usan su territorio para
tratar de llegar a Estados Unidos.
A mediados del 2013, el presidente
haitiano, Michel Martelly, y el primer ministro de Bahamas, Perry Christie,
trataron en Nassau la situación de alrededor de 50.000 haitianos que viven en
el archipiélago bahameño, la gran mayoría en condición irregular.
Este viernes, el Centro Robert F.
Kennedy para la Justicia y los Derechos Humanos, una organización con sede en
Washington (EEUU), expresó su alarma por el "uso discriminatorio" de
las nuevas políticas de inmigración en Bahamas, cuyas autoridades realizaron
redadas masivas y detenciones en enclaves haitianos a principios de este mes.
La entidad agregó que informes
recibidos desde Nassau señalan que también fueron apostados agentes de
migración en los alrededores de las escuelas públicas con una gran población de
estudiantes nacidos de padres inmigrantes.
"La estadidad es un derecho humano
fundamental, pero estos informes indican que el Gobierno de las Bahamas lo
considera como una herramienta para la discriminación", dijo Kerry
Kennedy, presidente del Centro Robert F. Kennedy para la Justicia y los
Derechos Humanos.
"Estas nuevas políticas significan
que miles de niños en las Bahamas ahora viven con el temor de arresto o
deportación arbitraria. Las Bahamas debe cumplir inmediatamente con su
obligación de proteger a los niños, sin importar su estado, y sin importar su
origen étnico", afirmó el representante.
Por otra parte, el canciller haitiano
expresó el viernes su esperanza de que República Dominicana tome en cuenta un
fallo de la Corte Interamericana de Derechos Humanos (CIDH), que sancionó una
sentencia del Tribunal Constitucional (TC) dominicano sobre el derecho a la
nacionalidad en ese país, que supuestamente afecta a miles de dominicanos de
ascendencia haitiana.
Brutus pidió evitar "hacer de este
un asunto bilateral", ya que las personas afectadas por la medida
"son dominicanos". Sin embargo, el diplomático aseguró que se trata
de un asunto que interpela a los organismos internacionales multinacionales y a
las organizaciones defensoras de los derechos humanos.
No hay comentarios:
Publicar un comentario